Atlas D'Anatomie Imagerie Du Corp Humain pdf Gratuit

 

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1. Dedicace 

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DedicaceDedicace

2. Preface, Remerciments

Preface, RemercimentsPreface, Remerciments


3. Prefaces Des Deuxieme et Premiere Editions 

Prefaces Des Deuxieme et Premiere EditionsPrefaces Des Deuxieme et Premiere Editions

4. Chapitre 1 : Guide pour les tables d'ossification 

Guide pour les tables d'ossificationGuide pour les tables d'ossification 


2. Chapitre 2 : Introductiont

  •     Angiographie
  •     TDM TomoDensitoMetrie
  •     IRM Imagerie Par Resonance Magnetique
    •         Angiographie Resonance Magnetique
  •     Ultrasonographie ou Echographie

3. Chapitre 3 : Tete, Cou Et Encéphale 

  •     Crane
  •     Os de la face et sinus paranasaux
  •     Mastoides et articulation tempero mandibulaire
  •     Os temporal et oreille
  •     Base du crane
  •     Oeil et orbite
  •     Pharynx
  •     Larynx et hypopharynx
  •     Vaisseau du cou
  •     Cou et glandes salivaires
  •     Orbite
  • ... ext

Tete, Cou Et Encéphale
Tete, Cou Et Encéphale


4. Chapitre 4 : Colonne Vertébrale Et Moelle Epinière 

Colonne Vertébrale Et Moelle Epinière

 






  •    Colonne Vertébrale
  •     Moelle Epinière


     Colonne Vertébrale Et Moelle Epinière 


5. Chapitre 5 : Membre Supérieur 

    

Membre Supérieur

  •     Epaule
  •     Coude 
  •     Avant bras
  •     Poignet et Main

    

    

6. Chapitre 6: Thorax 

Thorax

  •     Mediastin
  •   Poumons
  •     Thorax
  •     Coeur
  •     Sein 

 

7. Chapitre 7: Abdomen 

Abdomen


  •     Voies Blliaires
  •     Abdomen
  •     Intestin grelle
  •     Colon
  •     Abdomen superieur
  •     Vaisseaux Abdominale
  • ... ext


8. Chapitre 8: Bassin

Bassin


   


  •     Bassin masculain
  •     Bassin feminin






9. Chapitre 9 : Membre inferieur 

Membre inferieur

  •     Genou
  •     Cou-de-pied
  •     Pied
  • ...   ext


10. Chapitre 10: Index


Angiographie 


L accès au système artériel. en vue d'obtenir une arténographie (angiographie). est généralement réalisé par ponction et cathétérisme de l'artère fémorale sous anesthésie locale. 

Le produit de contraste. radio-opaque, est ensuite injecté dans le vaisseau qui se distribue dans la région à examiner. Si, pour une raison quelconque. Il n'est pas possible de recourir à l'artère fémorale (Par ex., du fait de ta présence d'une greffe ou par suite d'une maladie entraînant une obstruction iliaque). 



Il peut être fait appel à d'autres sites. comme l'artère brachiale ou l'artère axillaire. L'aortographie translombaire, qui implique l'abord direct de l'aorte par ponction percutanée, est. aujourd'hui, de moins en moins utilisée parce qu'elle ne permet pas le cathéténsme sélectif des branches collatérales et qu'elle ne permet pas non plus de pratiquer des interventions sur les vaisseaux. 

Le développement d'une nouvelle technologie. l'angiographie numérisée. a rendu possible la mise en évidence de l'aorte et des principales artères des membres par injection intraveineuse du produit de contraste (dans la veine brachiale, la veine cave supérieure ou l'oreillette droite), évitant ainsi, chez certains patients, le recours à la ponction artérielle. 


Cette technique d'angiographie par SouStraction numérique consiste à • soustraire • de l'image anglographique toutes les informations non désirées. ne laissant persister que les vaisseaux sanguins. 


Des artériographies numérisées peuvent donc être obtenues soit pariection directe du produit de contraste dans une artère (artériographie nitra-artérielle). sort par administration dans une veine et enregistrement ultérieur du passage dans la grande circulation. 


Cependant, si cette méthode évite la ponction artérielle, elle fournit des images moins contrastées par suite de la dilution du produit de contraste. 


Une soustraction photographique manuelle du fond de l'irnage peut également étre obtenue à partir d'une artériographie conventionnelle 



(non numérique). Qu'elle soit numérique ou photographique, la soustraction est employée dans les cas où il est nécessaire de saisir en détail les petits vaisseaux. Ceux•cl se reconnaissent aisément. en noir sur fond blanc. a l'opposé de ce qui se passe avec un film non traité. 


Différentes projections radiographiques sont parfois utilisées pour mieux voir la distnbution des vaisseaux. Ainsi, dans le cas de la crosse de l'aorte, une projection antéro-posténeure peut ne pas montrer clairement les branches collatérales du fait qu'elles sont très proches les unes des autres et qu'elles peuvent se superposer. 


Une projection oblique antérieure gauche déroule la crosse de l'aorte et permet une meilleure mise en évidence du tronc braChio-céphalique. de l'artère carotide superieur commune de cote gauche et de l'artère subclavière gauche. Sauf indications contraires, les angiographies contenues dans ce livre sont des projections antero•pOsterieures (AP). 



Les veines peuvent être mises en évidence de la même manière que les artères, c'est-à-dire par ponction directe et cathétérisme (par la veine fémorale, dans la plupart des cas). 


Les veines des membres, supérieurs ou inférieurs, sont rendues visibles en injectant le produit de contraste, à l'aide d'une aiguille 18G ou 20G. dans une veine périphérique du dos du pied ou du dos de la main ou encore du pli du coude. 



Alternativement. si l'enregistrement d'images d'une injection artérielle se prolonge un certain temps, il devient alors possible de saisir, successivement, les phases artérielle. capillaire et veineuse et ainsi de mettre l'anatomie des veines en évidence. 


Ceci est particulièrement utile dans le cas de la veine porte. évitant de la sorte le recours 8 la ponction directe transhepatique ou bans-splénique. 


Pour les techniqueS d'injection artérielle. de cathétérisme ou d'imagerie ainsi que pour les détails ayant tract au type d'équipement utilisé pour les angiographies, il y a lieu de consulter des ouvrages Spécialisés. 


TDM TomoDensitoMetrie

La limitation de toutes les techiimage ribiecilingrapniques est de fournir une représentation plane, bidimensionnelle, de structures tridimensionnelles. L'image radiographique classique exprime en effet les coefficients d'absorption linéaire de tous les tissus traversés par le rayon X incident. 


La tomodensitometne aDMI enregistre une séne de différentes projections angulaires d'une tranche «Ã©paisseur donnée. 

L'image TDM comprend une matrice constituée de petits éléments d'images ou pixels (•pecture elements»). Tous les tissus contenus dans un pixel atténuent les projections des rayons X et sont à l'origine d'un coefficient «absorption moyen pour le pixel. 


Cette valeur est comparée au coefficient d'absorption de l'eau et inscrite sur une échelle (échelle de Hounsfield). Le coefficient de l'eau est fixé à 0 unité Hounsfield (UH) et l'échelle possède 2.000 UH. 

En unités Hounsfield (UH), l'air a une valeur de - 1.000 et la graisse, environ - 100. La densité des tissus mous est compnse entre + 20 et • 70 : elle est Supérieure à  400 UH pour le tissu osseux. 


Avec les scanneurs modernes, hélicoïdaux, à tranches multiples, des images TOM peuvent être obtenues en une fraction de seconde et l'imagene de tout le corps, depuis le sommet du crâne jusqu'aux cuisses, ne prend aussi peu de temps qu'une respiration arrêtée pendant 20 à 30 secondes. 


Une telle rapidité pour l'obtention des images rend possible l'examen dynamique des artères et des veines. à différents moments après l'injection de produits de contraste. 


Cette technique est illustrée dans la nouvelle section consacrée à l'examen TDM de l'abdomen 'pages 122-126). où le même patient est examiné au cours des phases artérielle et veineuse, permettant la mise en évidence de l'anatomie vasculaire dans toute son étendue. 



Les images digitales sont archivées et forment une partie de l'enregistrement électronique disponible à travers le monde, c'est-à-dire un PACS (Picture ArchivIng ami Communication System). Ce PACS permet l'Interrogation d'images au moyen d'un réseau électronique de sorte que 


cellesci (comme les rapports} peuvent être visualisées à distance. par exemple, dans le service de garde d'un autre hôpital. L'Efectronic Patient Record IEPR). où toute l'information concernant un patient est stockée, se développe rapidement. est de plus en plus accepté et constitue un progrès marquant dans le traitement des données. 


Aucune préparation spécifique n'est requise pour les examens de l'encéphale, de la colonne vertébrale ou pour le système musculo-squelettique. 


Les examens du thorax, de l'abdomen et du bassin nécessitent habituellement l'administration intraveineuse d'un produit de contraste. à base «rode. qui met en évidence les artères et les veines en montrant mieux leurs rapports topographiques. 


L'opacification de l'intestin dans les études TOM de l'abdomen et du bassin, peut être obtenue par l'administration orale d'un produit de contraste hydrosoluble. 

24 heures avant l'examen du côlon elle peut être combinée à une ingestion supplémentaire. de 0 à 60 minutes avant l'examen, en vue de mettre l'estomac et l'intestin grêle en évidence. Occasionnellement. l'administration d'un produrt de contraste, directement dans le rectum, peut être nécessaire pour voir le gros intestin estai. 



La plupart des examens sont géneralement réalisés sur un patient en décubitus dorsal et les Images obtenues correspondent à des coupes transversales ou axiales. 


Avec les équipements modernes, le plan de coupe axial peut être incliné jusqu'à 25 a. par angulabon du portique ; ceci est parteuherement utile pour certains examens de la colonne vertébrale. 


Occasionnellement, des coupes frontales (coronales) peuvent être obtenues au cours de la recherche d'anomalies maxillo-faciales ou du crane dans ce cas, le patient est placé en procubituS, re cou en extension et plan du portique incliné suivant l'angle appropné. 


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